La tuméfaction des cellules prostatiques est un mal qui touche les hommes. La maladie est capable d’engendrer de nombreux désagréments au niveau de l’organe reproducteur du malade. Il importe alors de réaliser un dépistage régulier avant que le mal ne prolifère complètement. Néanmoins, la tumeur prostatique peut-elle tuer l’homme qui en souffre ?
Sommaire
Que faut-il savoir sur la survie nette ?
Il s’agit de la probabilité qu’un individu souffrant de la tumeur prostatique survive lorsqu’aucun autre mal n’est susceptible de causer sa mort. La survie nette permet l’estimation du pourcentage des personnes capables de survivre au cancer de la prostate. Les statistiques permettent d’affirmer que moyennement, 91% des individus diagnostiqués de cette tuméfaction prostatique auront la chance de vivre en bonne santé pendant au moins 5 ans.
Qu’y a-t-il à comprendre à propos de la résistance selon le niveau d’évolution de la tumeur prostatique ?
De nombreuses études ont été réalisées par rapport à la pérennité des malades atteints d’une tumeur prostatique en France. Les chercheurs ont pu démontrer qu’un malade souffrant de ce mal est susceptible de mourir en fonction du stade. Cela implique que le pronostic dépend du moment où la maladie a été diagnostiquée. Il existe entre autres :
- Le stade précoce ;
- Le stade avancé ;
- Le stade métastatique.
Le stade précoce
Selon les études, un homme a moins de risques de mourir de la tumeur prostatique si le diagnostic est réalisé à une période prématurée du mal. Étant donné que la tumeur prostatique a une évolution léthargique, il sera possible de l’endiguer et d’accroître ainsi la durée de vie du malade. Les traitements s’avéreront alors efficaces dans ce cas.
Le stade avancé
Par contre, le pronostic des patients dont le dépistage a révélé une tumeur prostatique de niveau avancé est moins encourageant. En effet, ce facteur de risque est bien trop grand puisque la maladie a atteint un niveau où il est complexe à soigner, car bien trop résistant aux traitements capables de le calmer. Cela signifie que le score relatif à la survie du malade s’amenuise à mesure que son mal évolue.
Les comparaisons avec d’autres profils
Par ailleurs, il faudrait souligner que les chances de résister à ce mal prostatique en fonction de son avancée se présentent sous forme d’espérance relative après 5 années. Grâce à cela, le médecin est capable d’évaluer s’il est possible qu’un homme atteint de la tumeur prostatique soit vivant pendant au moins cinq années après le diagnostic. Le pronostic sera comparé aux autres hommes de la société qui ne souffrent pas de cette maladie prostatique, mais qui ont le même profil que le patient.
D’après les experts, lorsque la maladie est localisée, le taux de la résistance du patient après cinq années est de 100%. Dans le cas où les cellules prostatiques tuméfiées sont localement avancées, le médecin vous garantira un taux de plus de 95% de résistance à la maladie. Néanmoins, il s’agit là d’un score qui baisse drastiquement lorsque le stade de la tumeur prostatique est métastatique. Les chances de résistance n’excèdent pas les 30%.
Articles similaires
- À quel âge le bébé peut-il se retourner sur le ventre ?
- Comment soigner un mal de dent horrible ?
- Échographique du 2e trimestre : quelles différences entre fille et garçon ?
- Magnésium : en combien de temps une cure peut-elle faire effet ?
- Quels sont les aliments susceptibles d’accentuer l’arthrose ?